dimanche 14 février 2010

Adieu

C'est la première fois que j'ose te écrire. Mon nom n'importe pas.

La première fois que je t'ai vu, je me suis essouflé. Mille poétes pourraient essayer pendant des siècles et ils ne arriveraient jamais à te décrire. Chaque jour tu passais devant moi sans me voir, mais chaque seconde d'attente s'enfonçait comme mille épingles.

Je ne me suis jamais armé de courage pour te parler, et maintenant je dois partir d'ici pour toujours, et te dire adieu. Pourquoi? Je ne peux pas dire. Où je vais? Je ne peux pas savoir. Mais je peux te dire une chose: chaque fois que je écoute hurler le vent, il murmurera ton nom, tu seras un souvenir que je porterai dans ma mémoire tant que je vivrai.
Excellente lettre, José!

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